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Satprem for ever

1 janvier 2014

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Haro sur ce que devient l'héritage spirituel de Satprem! «Si je meurs, ce ne sera pas la nécessité de la vieille mort, c’est simplement que j’aurai fini ma part du travail. D’autres continuerons et amélioreront.» Satprem Alors que ce grand défenseur de...
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2 janvier 2014

Une question de vie ou de mort

Carnets d'une Apocalypse- non-retour Satprem

Ces carnets ne sont pas faits pour des "lecteurs" mais pour ceux qui sont déjà arrivés au point de non-retour et pour qui cela devient une question de vie ou de mort.

Satprem, Carnets d'une Apocalypse III, p526

1 janvier 2014

QUI ETAIT SATPREM ?

DANS LE SILLAGE DE SRI AUROBINDO

 "Je m'étonnais toujours, quand j'étais petit, que l'on ne puisse pas être immédiatement partout, être dans tous les corps et dans tous les lieux. J'étais perpétuellement en prison, et c'était cette prison que je voulais casser à tout prix par mes « expériences »."

 

"On est en quête de l’être nouveau, sans le savoir, on est en pleine révolution humaine. Et Sri Aurobindo nous donne la clef. Il est possible que le sens de notre propre révolution nous échappe parce que nous voulons prolonger l’existant – le raffiner, l’améliorer, le sublimer."

«Cette imperfection même, assure Sri Aurobindo, recèle l’élan vers une perfection plus haute et plus complète. Elle contient l’ultime fini, qui pourtant aspire au Suprême Infini. Dieu est enfermé dans la boue... mais le fait même de cet emprisonnement impose la nécessité de faire un trou dans la prison.»

"C’est cette substance physique qu’il faut transformer, sinon elle jettera bas, l’un après l’autre, tous les artifices humains ou surhumains que nous voudrons coller dessus."

"Ce corps, cette substance physique, cellulaire, contient «des pouvoirs tout-puissants», une conscience muette qui possède toutes les lumières et toutes les infinitudes, autant que les immensités mentales et spirituelles – car, en vérité, tout est Divin, et si le Seigneur des univers n’est pas dans une seule toute petite cellule, il n’est nulle part. C’est cette obscure Prison originelle, cellulaire, qu’il faut briser; et tant que nous ne briserons pas celle-là, nous continuerons à tourner en vain dans les cercles d’or, ou de fer, de notre prison mentale. «Les soi-disant lois absolues de la Nature, dit Sri Aurobindo... sont simplement un équilibre établi par la Nature, un sillon dans lequel elle s’est habituée à travailler afin d’obtenir certains résultats. Mais si vous changez de conscience, le sillon changera aussi, inévitablement.» Telle est la nouvelle aventure à laquelle Sri Aurobindo nous convie, une aventure dans l’inconnu de l’homme."

Satprem, SRI AUROBINDO ET L’AVENIR DE LA TERRE

1 janvier 2014

Haro sur ce que devient l'héritage spirituel de Satprem!

 

SATPREM image2

Satprem, Land’s End, Kotagiri (Nilgiris) 643217, Inde.

Bernard ENGINGER "SATPREM", écrivain.

Né le 30 octobre, 1923,  Rue Giordano Bruno, 75014 Paris, France

Décédé le 09 avril 2007, Land’s End, Kotagiri (Nilgiris) 643217, Inde.

 

 

Alors que ce grand défenseur de la Vérité s'est battu toute sa vie, jusque dans ses cellules pour accomplir le travail de la Vérité, force est de constater que l'Institution à qui il a donné sa confiance pour poursuivre la publication de son œuvre ne travaille pas suffisamment pour cette Grande Vérité.

SEPT ans pour publier seulement trois Carnets d'une Apocalypse, n’est-ce pas digne d’une inconsidération envers Satprem et son travail qui est une œuvre pour l'humanité?

SATPREM est décédé le 9 avril 2007, et jusqu'à sa mort son travail de recherche et d'exploration intérieure a été transcrit dans les Carnets d'une Apocalypse. Jusqu'à sa mort, 7 de ses 24 volumes ont été transcrits et édités. A ce propos il est douteux de ne pas croire à une stratégie de profit, car pour indiquer qu'il y a au total 24 tomes et (qu'il en reste 14) c'est qu'il y a déjà un pré-travail de mise forme, donc mise en forme définitive qui devrait d'autant plus rapidement encore se faire que ce que nous supposons pouvoir se faire. Après sa mort, soit maintenant près de sept ans après, seulement 3 volumes supplémentaires ont été édités !!! Seulement oui, car l'on peut légitimement s'interroger sur l'honnêteté et les compétences des personnes à qui Satprem aurait soi-disant confié la pleine autorité de la décision de continuer à publier son œuvre. La définition du verbe "publier" est de rendre publique, de diffuser au public et, lorsqu'un écrivain est vivant, il gère en fonction de ses capacités de travail et de sa nécessité financière la répartition temporelle de sa publication. Mais lorsqu'un écrivain décède, et lorsque cet écrivain comme ce fût le cas pour Satprem, écrit une œuvre intimement liée à sa recherche authentique de l'être, de la transformation de l'humain, on peut considérer à juste titre que cette œuvre est un patrimoine pour l'Humanité. Devant ce travail effectué par feu Satprem, sa précieuse quête d'exploration dans les profondeurs du corps humain et de sa tentative de  transformation, on ne peut que s'incliner et continuer l'œuvre intérieure tout autant que d'être au service de la mise à disposition du plus grand nombre et le plus rapidement possible de cette œuvre. Satprem n'est pas mort et n'a pas fait ce travail pour qu'une poignée d'individus, à qui il en a confié la responsabilité, décide bon an mal an de comment ses publications seront contrôlées pour en retirer un profit post mortem. On comprend que de son vivant Satprem est décidé de comment il gérerait ses publications, car, comme pour tout homme vivant dans ce monde, la nécessité de subsistance est légitime et la rémunération octroyée à un travail fournit est, elle-même indiscutable. Mais lorsque cette personne, dont on connaît la valeur qu'est pour elle l'acte d'écrire, donc de transmettre au public son travail, et dans ce cas quel travail ! : Une œuvre divine pour l'humanité à venir, les premiers tracés de son chemin futur; donc lorsque cette personne vient à décéder, alors on se doit de faire le MAXIMUM, oui le MAXIMUM pour que cette œuvre soit non seulement publiée, mais le soit dans un temps honnête et rationnel, et de plus, le soit consciencieusement. Hors, que constatent tous les chercheurs, tous les hommes et toutes femmes en quête d'une spiritualité transformatrice, aspirant à suivre du plus profond de leur âme la voie ouverte par Sri Aurobindo et Mère pour qui "l'homme est un être de transition" et que Satprem s'est consciencieusement, éperdument, profondément attelé à en trouver le chemin, à l’expérimenter, à  continuer dans son corps et ses cellules jusqu'à ses derniers jours sur Terre à faire le maximum pour frayer cette voie inconnue, et bien tous ces êtres aspirant à cette réalisation n'ont actuellement aucune possibilité de se baser sur la transmission que Satprem leur a léguée dans son intégralité. Satprem qui s'est battu toute sa vie contre la barbarie, aussi infime et minuscule soit-elle, se voit dans son esprit bafoué par la barbarie commise par l'inconscience, l'inconsistance, l'inconsidération des personnes de l'IRE envers son œuvre à qui il en  a confié ultimement la responsabilité. Nous sommes à 4 mois de la date anniversaire des 7 ans de la mort de Satprem et nous n'avons à ce jours que 3 Volumes des Carnets d'une Apocalypse publiés depuis ce 09 avril 2007. Je vous laisse faire le calcul: à ce rythme, dans combien de temps pourrons-nous pouvons espérer, nous hommes et femmes de toutes les nations peuplant cette planète, avoir à notre connaissance cette œuvre?! Franchement c'est inadmissible, incompréhensible. Sauf si ce n'est dans un objectif de pur profit, de stratégie de marketing pour que les responsables de L'IRE eux-mêmes et pour eux-mêmes s'assurent de rentrées d'argent sur les années qu'ils leurs restent à vivre. C'est dans ce cas monstrueux, et nous avons tout loisir de le penser, car de nombreuses lettres questionnant les responsables de L'IRE pendant ces 7 années sont restées sans réponses, ou de façon éludées. D'autre part, des gens consciencieux, mais pas nommées par Satprem pour participer à son travail de transcription et de publication, car ne les connaissant pas (ou peu) de son vivant, ont relevé de nombreuses erreurs de transcriptions sur les quelques Carnets d'une Apocalypse publiés durant ces sept années [cf. Annexe II]. Est-ce bien sérieux qu'une équipe d'un Institut implanté à la fois en France (IRE), en Inde (MIRA ADITI)  et en Russie (MIRRA) ne réussisse pas à faire un travail digne de ce nom et que les personnes suivant fidèlement la voie de Satprem de par le monde n'y aient pas accès en temps et en qualité voulues ? Faut-il préciser que de son vivant les 13 Volumes de L'Agenda de Mère ont été publiés en 4 ans, de 1978 à 1982? Que cet Agenda a été retranscrit de l'audio à l'écrit par Satprem lui-même, avec les moyens de l'époque et avec de nombreux obstacles à son encontre pour le faire? Et qu'en même temps Satprem continuait à écrire ses œuvres, notamment Carnets d'une Apocalypse? [cf. Annexe IV].  Faisant cela il devait aussi gérer l'IRE? Il y a donc un véritable et monumental problème à l'heure actuelle autour de la continuité du travail de retranscription et de publication de l'œuvre de Satprem. Il a fallu 7 années à une équipe de gens délégués par Satprem lui-même avec des moyens techniques autrement plus modernes qu'à l'époque de L'Agenda de Mère, pour publier 4 tomes des Carnets d'une Apocalypse. Carnets s'élevant à 24 volumes au total, il reste donc 14 tomes à publier.

A ce compte là le rythme de publication actuelle ne verra son achèvement que d'ici quasi 27 ans, il aura fallut près de 40 ans depuis les première publications. Voir le PLAN DE PUBLICATION    [cf. Annexe III et Annexe IV].Les 13 Volumes de l'Agenda ont eux été publiés en 4 ans seulement à l'époque! [cf. Annexe IV].

Mais de qui se moque-t-on ??? De la conscience de Satprem d'une part, de celle des chercheurs actuels et amis proches de Satprem et des chercheurs à venir d'autre part, donc de la Conscience Universelle elle-même, et bien sûr de l'humanité qui aura perdu là une œuvre majeur de son histoire.

Précisons que les Carnets d'une Apocalypse sont déjà écrits, en français, et que plusieurs personnes travaillent (?) à l'IRE (mis à part quelques lettres d’annonces de-ci, de-là, des nouveautés de publications ou de re-publications annoncées par sa responsable qu’elle est le travail véritablement effectué qu’on est en droit d’attendre ?). Inutile donc de rappeler que Satprem a fait de son vivant, jusqu'à un âge avancé, un travail à la fois de recherche intérieure, de transcription scrupuleuse de son chemin de transformation et d'exploration dans le corps, de publication, et d'écriture d'œuvres variées! [cf. Annexe IV].

Donc, soit les personnes à la tête de l'IRE sont inconscientes, soit dépassées par l'ampleur de leur travail, soit ignorantes du trésor qu'elles tiennent entre les mains, soit incompétentes, soit de mauvaise foi, soit de mauvaises intentions, soit habitées par le mercantilisme et le lucratif;  et compte tenu de l'absence de réponse ou de réponses éludant les questions posées à travers les nombreuses lettres de chercheurs soucieux de la pérennisation de l'œuvre de Satprem depuis sa mort, il y a tout lieu de s'inquiéter de l'une ou de plusieurs de ces possibilités! Si ces personnes à la tête de l'IRE sont, à minima, dépassées par l'ampleur du travail à accomplir, pourquoi n'appellent-elles pas à contribution des personnes qui ont déjà manifesté leur soutien et leurs compétences en ce sens? De nombreuses personnes comme en témoigne l'activité sur le web à ce propos, sont disposées et compétentes pour apporter une contribution au travail de transcription [cf. Annexe I et Annexe II].

Mais les personnes responsables de l'IRE ont-elles une quelconque conscience de ce qu'est une contribution si ce n'est celle de vouloir tirer un profit de tout ce qu'elles ont entre les mains? Pourquoi s'agripper tel un avare racorni et mesquin sur son petit héritage, sur sa soi-disant petite mission déléguée par un individu, en ce cas présent Satprem, qui avait certes prévu l'essentiel et surement en toute conscience, mais n'avait peut-être pas non plus tout prévu, tant s'en faut! Le croire serait un mythe, car Satprem n'était pas prophète et comme tout homme, n'était pas infaillible. Mais les personnes de l'IRE le prendraient-elles pour un Dieu, légitimant leur croyance qu'elles en sont les dignes et uniques successeurs et quelles sont donc aussi elles-mêmes à égal du Dieu quelles se sont construites par leurs projections? 

Loin de faire un procès d'intention, nous pourrions légitimement nous élever pour un Procès en rétention d'informations, falsification de l'œuvre, mensonges et occultation autour de la mort de Satprem. Car à ce sujet l'IRE, loin d'être transparente, continue de prendre les gens pour des imbéciles et la législation en vigueur dans les institutions de l'État indien et français pour inexistante [cf. Annexe V]. Chaque citoyen, d'autant plus lorsqu'il s'agit de la vie d'un écrivain public, est légitimement en droit d'accéder aux informations concernant l'acte d'état civil d'une personne, son lieu de naissance, de décès, date, et heure et circonstance auprès de l'administration, mais aussi auprès des personnes se revendiquant avoir été fidèlement proches de lui et être son digne successeur. Encore faut-il qu'une déclaration en bonne et due forme envers les administrations légales ait été effectuée par les personnes ayant eut en charge la responsabilité de veiller sur la vie privée et intime de Satprem, comme ces personnes  se gargarisent avec un mépris et une condescendance affichés de l'avoir fait et de le faire encore. Et que cela ne regarderait donc plus personne après la mort de Satprem, à part celles ayant vécu dans son entourage amical et de travail, est d'une ineptie et d'un mépris monumental envers la société civile elle-même. Et il n'est absolument pas question ici de la vie privée de Satprem, puisqu'il est mort d'une part, et que d'autre part justement par respect pour sa personne, les circonstances de sa mort et les questionnements y attenant doivent être explicitement portés à la connaissance du public qui le demande. C'est le minimum de respect que l'on doit à un être tel que lui et à l'Humanité pour qui il avait un profond et véritable amour.

Admettons que Satprem ait fait quelques recommandations testamentaires de vive voix à ses proches, il n'en reste pas moins qu'un cadre légal existe dans toute civilisation digne de ce nom et que le manque d'informations essentielles concernant la mort d'un individu est imputable de suspicion. Heureusement qu'il existe encore des lois dues aux progrès de la civilisation pour que des actes de la sorte ne soient pas communs mesure, et pour que les individus se revendiquant d'un héritage spirituel, ou d'une démarche spirituelle, ne tombent dans les travers de leur propre inconsidération pour l'autre si cet autre ne semble pas être à leur égal ! Et c'est là que le bât blesse, l'IRE n'est visiblement plus à la hauteur de son engagement depuis la disparition de Satprem voilà prêt de 7 ans maintenant, n’est plus à même de faire le lien, d’assurer la transmission entre l’œuvre léguée par Satprem et les êtres humains pour qui il l’a fait et, de plus, bafouent les lois de ce monde, la pérennité de l'œuvre d'un écrivain et la considération pour son public. Se croyant supérieure parce que détenteur de l'œuvre de Satprem, continuateur par lègue de son vivant, l'IRE est devenue la chose infâme contre laquelle Satprem a combattu toute sa vie : Une institution (mon Dieu quel triste paradoxe!) où le mensonge prend place et n'est plus combattue. Et combattre le mensonge c'est non seulement dire la vérité, mais aussi éviter de s'abstenir d'éluder les questions à son propos. La société civile, représentée par le public réclamant des comptes sur la transmission de l'œuvre de Satprem et sa pérennisation, et en droit de s'insurger et de saisir le cadre légal de ladite société pour que l'Œuvre ne tombe dans l'oubli ou ne soit pervertie, ce qui reviendrait  précisément au même.

En 1984, Satprem écrivait dans son cahier: «si je meurs, ce ne sera pas la nécessité de la vieille mort, c’est simplement que j’aurai fini ma part du travail. D’autres continueront et amélioreront (Carnets d’une Apocalypse, tome IV, 28.12.84). En ce début d'année 2014, à la veille de la date anniversaire oh, combien symbolique que sont les 7 années écoulées depuis son départ de ce monde, puissions-nous espérer voir son vœu exaucé et Comptant sur votre compréhension, veuillez recevoir l'espérance de voir notre demande exaucée.

Sincèrement

                                                                         Satvam                              Le 1er janvier 2014 

 

 

 

ANNEXES

(Annexes I-II-III : D'après les documents publiés sur le site arianuova.org)

Annexe I : LES MANUSCRITS DE SATPREM

Annexe II : ERRATUM

Annexe III : PLAN DES PUBLICATION  (Carnets d’une Apocalypse)

Annexe IV : BIBLIOGRAPHIE DE SATPREM

Annexe V: A PROPOS DU 09 AVRIL 2007

 

1 janvier 2014

ANNEXES

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ANNEXES

(Annexes I-II-III : D'après les documents publiés sur le site arianuova.org)

Pour chaque Annexe un entête Observation par l'auteur du blog "Satprem for ever"

Annexe I : LES MANUSCRITS DE SATPREM

Annexe II : ERRATUM

Annexe III : PLAN DES PUBLICATION  (Carnets d’une Apocalypse)

Annexe IV : BIBLIOGRAPHIE DE SATPREM

Annexe V: A PROPOS DU 09 AVRIL 2007

 

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1 janvier 2014

Annexe I : LES MANUSCRITS DE SATPREM

 

plante

 

Observation: le texte qui suit est une preuve de la bonne volonté de nombreuses personnes disposées à apporter leur contribution à l’œuvre de Satprem dans le travail de publication qu’il reste à faire. La demande formulée dans l’exigence de qualité d’une œuvre pareille — qui a été formulée plusieurs fois par de nombreuses personnes auprès des responsables de l’IRE — ne semble pas avoir été entendue à sa juste mesure. Le fonctionnement associatif (à but non lucratif soit dit en passant) de l’IRE pècherait-il par la faiblesse inhérente au manque de structuration et d’organisation consciencieusement élaborée pour effectuer ce travail ?  Causant par là même une démobilisation, un manque d’engagement et de compétence dans l’institut censé transmettre l’œuvre de Satprem ? Pourquoi l’IRE avec les bénéfices qu’elle a déjà effectués par ses publications, ne scanne-t-elle pas les manuscrits de Satprem pour les publier tels quels dans un premier temps sur le web? Pourquoi ne se rapproche-t-elle pas d'un réseau de bibliothèque départementale ou nationale pour favoriser ce travail (de nombreuses œuvres de Satprem et Sri Aurobindo sont mises à disposition du public dans certaines bibliothèques des grandes villes françaises et certains de ces ouvrages consultables uniquement sur place, car protégés contre la dégradation ou la perte. Certaines de ces bibliothèques font un travail de conservation et de sauvegarde. Encore faut-il vouloir faire la démarche de se renseigner!). Vu le rythme des publications actuelles, avec leurs nombreuses erreurs de surcroît, pourquoi donc l’IRE s’obstine à détenir ce matériel pour en faire un produit fini commercialisé qui ne sera disponible qu’après la mort des chercheurs ayant vécu dans l’époque de Satprem et en attente de voir ce matériel disponible ici et maintenant ? Oui, pourquoi cette inconsidération pour ce travail et pour le public qui attend d’en bénéficier? Pourquoi l’IRE qui se définit comme association loi 1901, ferme-t-elle ses portes à toutes possibilités d’adhésion selon les termes de la loi 1901 ? (principe de libre adhésion...). Et pourquoi l’IRE se résume à une boutique en ligne ? (Principe de non-lucrativité...)

 


 

LES MANUSCRITS

DE SATPREM

(par l’équipe du site arianuova.org)

Satprem a laissé des manuscrits très importants pour nous tous, pour l’avenir de la Terre. Il les a appelés les Carnets d’une Apocalypse.

Avant son départ, en 2007, sept tomes seulement avaient été publiés, sous sa supervision directe. Mais la totalité des Carnets s’élève à 24 tomes...

La question se pose donc d’obtenir une publication intégrale et scrupuleuse des tomes qui restent à publier.

Au XXe siècle, la modernité littéraire a créé et choyé le concept de “passeur” d’œuvre: les œuvres réputées audacieuses, transgressives, donc irréductibles aux normes sociales, d’auteurs réelement novateurs, auraient besoin d’intermédiaires, de fervents défenseurs chargés de conquérir leur reconnaissance. Oui mais voilà, le passeur peut nourrir des ambitions plus discutables. Il peut effacer, manipuler, transformer. Sa lecture et sa pédagogie peuvent trahir l’auteur. Bref, le passeur peut être un fraudeur, ou simplement un imposteur (voir par exemple l’article sur Antonin Artaud et le maccarthisme littéraire, dans lequel on peut constater le grave péril que représente une trahison possible des manuscrits, pas nécessairement par mauvaise foi). Il peut aussi, tout simplement, ne pas avoir les compétences requises pour mener à bien un tel travail.

Alors la question légitime qui se pose pour nous est la suivante: la publication des Carnets de Satprem respecte-t-elle les manuscrits originaux? Et jusqu’à quel point?

Le premier tome publié après le départ de Satprem, c’est-à-dire le huitième, contient au moins une cinquantaine de fautes: voir la liste attachée.

FAUTES DANS LE TOME VIII (1988) des CARNETS D’UNE APOCALYPSE

Nous savons bien qu’un nombre trop élevé d’erreurs (au-dessus d’une demi-douzaine, selon la coutume des bibliophiles) est le signe sûr d’un manque de soin dans le travail de transcription. Nous le savons bien, étant nous aussi engagés dans une tâche éditoriale: notre maison d’édition, aria nuova edizioni, est en train de publier l’intégralité de l’œuvre poétique de Sri Aurobindo, dans la traduction italienne avec les textes originaux en regard.

Et nous savons aussi que, à force de “petits arrangements” supposés rendre plus lisibles les écrits d’un auteur, on peut détourner le sens d’un témoignage. Car la transcription de manuscrits est une profession en soi, qui a ses règles et ses lois (d’ailleurs en évolution). Aujourd’hui, les transcriptions font l’objet d’un travail collectif, pour faire face à la multiplicité des difficultés d’une transcription qui soit fidèle à l’original. Malheureusement, il semblerait que les Carnets de Satprem ne bénéficient pas de ces conditions de transcription optimales. Le volume 8 est nettement défectueux.

Quel est donc notre objectif?

Nous demandons la préservation et la valorisation de l’œuvre de Satprem, ainsi qu’une publication fidèle et intégrale de ses Carnets. Il s’agit ici de sauver Ses manuscrits de toute déformation (qu’elle soit le fait de la bonne ou de la mauvaise foi) afin d’obtenir des garanties véritables et incontestables sur l’absolue fidélité de la transcription. Nous savons qu’une pareille tâche serait possible seulement en rendant la reproduction des manuscrits des Carnets disponibles à tous. Mais, jusqu’à ce jour, il faut rester aussi vigilants que possible afin que les Carnets d’une Apocalypse puissent avoir une édition qui soit à la hauteur de leur Auteur.

 


 

1 janvier 2014

Annexe II :ERRATUM


 

SATPREM image1

Observation: l'équipe du site arianuova.org a fait un excellent travail de correction pour la postérité et nous ne pouvons qu'être étonnés, interloqués, de voir le nombre d'erreurs que l'équipe de l'IRE a laissé passer lors de la publication de ces manuscrits transmit par Satprem. Merci pour ce travail, montrant par là qu'il y a des gens de bonne volonté et au service de l'œuvre de Satprem et qui sont prêts à mettre leur compétence à contribution pour une publication consciencieuse (et non-licencieuse), fidèle et rapide de ces précieux manuscrits. À bon entendeur, salut!


 

 

ERREURS
relevées dans le
volume 8 des
Carnets d’une Apocalypse
de Satprem

 

(rédigé par l’équipe du site arianuova.org)

 

Le tome VIII des “Carnets” de Satprem
a été publié en juillet 2009 et il s’agit
du premier volume sorti
sans la directe supervision de l’Auteur
(qui a quitté son corps en avril 2007).

Donnons ici une première liste
(assez longue, malheureusement!)
des fautes contenues, pour faire preuve,
hors de toute polémique,
de ce soin et ce respect qui l’Auteur mérite bien.
Il faut bien obtenir des garanties
sur la fidélité de la transcription
des prochaines tomes à paraître!

 

– page 21: note 1, faute de traduction: «this» est traduit par «celle-ci», alors qu’il désigne «our present state» (donc «celui-ci»). La phrase de Sri Aurobindo ainsi traduite devient incompréhensible. On peut regretter également que «pouring» ait été traduit par «coulée» plutôt que par «déversement», qui rend mieux le mot anglais.

– page 42: «des bouts de papiers» (au lieu de: «des bouts de papier»).

– page 61: «sans-abri» écrit avec un tiret, alors qu’il n’est pas employé ici comme nom. Il aurait fallu «sans abri». La même erreur se retrouve un peu plus loin.

– page 89: «ses observations»: on ne comprend pas à quoi se rapporte le possessif. Fallait-il lire «ces»?

– page 96: «se de» au lieu de «de se». Plus loin, incohérence dans la retranscription d’une phrase de Satprem: «C’est insupportable pour aucun corps». (Ce n’est supportable pour aucun corps???).

– page 105: virgule mal placée après «discrimination», alors qu’elle aurait dû se trouver après «balles».

– page 107: «oeuvres» (au lieu d’«œuvres»).

– page 111: «bien que les perspectives d’un règlement en Afghanistan s’annonçaient bien» (mode défectueux. «Bien que» exige le subjonctif.) Plus loin: «M. Carlucci dit que les relations des Etats-Unis avec l’Inde et le Pakistan devaient s’appuyer sur leurs valeurs respectives» (incohérence des temps).

– page 111: «Islmabad» pour «Islamabad».

– page 117: «se replatissant» (au lieu de «raplatissant»).

– page 120: «Je pense à cette g… de fausse Mère»: Satprem n’avait pas pour habitude de censurer ses mots. (Voir tome 6, p. 107 et 125: «Elle peut toujours courir, cette putain-là!»).

– page 124: «Ce tuyau, ou cette masse, je l’avais déjà sentie» (senti?).

– page 159: «Cette Bastille, qu’est mon corps»: syntaxiquement, la virgule est fautive.

– page 162: «Toi Seul existe» («existes»?). Plus loin: «Il faut se laisser écraser. avec ce seul cri» (il manque une majuscule).

– page 168: «Je recommence debout. à marteler». (Il faut ou une majuscule à A, ou supprimer le point, puisqu’il y a un retour à la ligne et que Satprem, dans les volumes précédents, ne ponctue pas dans ce cas. Cette erreur se reproduit plusieurs fois).

– page 171: «Des centaines de milliers d’oiseaux marins et de phoques sont mortes» (au lieu de «sont morts». Avec dizaine, douzaine, cinquantaine, centaine, l’accord se fait en règle générale avec le complément).

– page 173: «Conversation avec Sujata». On ne comprend pas pourquoi le début de l’enregistrement n’a pas été retranscrit. Problème technique? Choix délibéré, dans la mesure où pourraient être mises en cause certaines «mauvaises intentions tamoules» (voir page 175)? La moindre des choses aurait été d’adjoindre une note expliquant pourquoi cette première partie a été enlevée.

– page 180: «Je prendrais volontiers le parti de ce pauvre Satan si je savais où il se cachait». (Erreur de temps: «où il se cache»).

– page 181: «Un règlement pacifique autour et en Afghanistan». (Traduction défectueuse. Les deux prépositions ne se construisent pas de la même manière: «autour de et en»).

– page 195: «souriant»: il semble que Satprem et Sujata étaient généralement seuls pendant ces conversations, enregistrées sur un magnétophone. L’expression de leur visage figurerait-elle sur l’enregistrement?!

– page 209: «Je vois alors des choses qui sont de l’ensemble». (Peu intelligible. Problème de transcription?).

– page 215: «La copie conforme des ceux de Reagan» (au lieu de «de»).

– page 216: «Les Etats-Unis continueraient de moderniser ses forces stratégiques» (au lieu de «leurs»). «Nous devons continuer à aider l’abandon de la répression». (Est-ce qu’on aide l’abandon???).

– page 216 encore: «La Bille par la bombe». (Problème de transcription? Rien dans ce qui précède ne fait allusion à la moindre bille! S’agirait-il de la Bible?).

– page 217: il manque les guillemets d’ouverture au début du premier paragraphe de l’article.

– page 219: des «ultras conservateurs» (au lieu de «ultraconservateurs»).

– page 225: «Généralement c’est la Mort qui fait le festin!». (Il manque une virgule entre «généralement» et «c’est»).

– page 228: «éclats de rires» (au lieu de «éclats de rire»).

– page 229: «Ou bien notre système humain mortel, est inexorable». (La virgule détruit la cohérence syntaxique.)

– page 238: «Evidement» (au lieu de «Evidemment»).

– page 248: «armé d’une barre à mine à l’extrémité plate je faisais levier». (Il manque une virgule entre «plate» et «je»).

– page 264 «des centaines de jeunes déferlent sur les grandes rues» («dans» les rues?).

– page 265: «des centaines de militants ont été exécutées», au lieu de «exécutés».

– page 267: «Sarama»: une note explicative aurait été la bienvenue. Tous les Occidentaux ne savent pas que Sarama est “la Chienne des Cieux” qui symbolise l’intuition dans le Veda!

– page 268: problème de temps: «je ne peux pas m’envoler directement, il y avait un poids» («je ne pouvais pas m’envoler»?). Un peu plus loin: «M’«empêchaient…: il y a des guillemets en trop, tandis qu’à la fin, au contraire, les guillemets ne sont pas refermés.

– page 282: «Tu vois, ne t’inquiètes pas» (au lieu de «Ne t’inquiète pas»).

– page 283: «Mahastami» et «Vijaya Dashami» demanderaient une note explicative.

– page 309: «je n’en ai pas ma douce» (il manque une virgule entre «pas» et «ma»).

– page 313 «graines de grenades» au lieu de «graines de grenade» (que l’on trouve d’ailleurs orthographié ainsi un peu plus loin).

– page 314: «Eh bien écoute» et page 315: «Eh bien assez». (Tout au long de ce volume, la virgule a systématiquement sauté après «eh bien»).

– page 314: «Je ne sais rien ma douce»: il manque encore une virgule.

– page 323: «moyens de transports» au lieu de «moyens de transport».

– page 325: «The chariot of Jagannath grinds slowly, but it grinds exceedingly fine» est traduit par: «Le char de Jagannath avance lentement, mais extrêmement minutieusement». Traduction pataude, qui en outre édulcore complètement le sens de «grind» (moudre, écraser très finement).

– page 326: il manque une virgule avant «quoique».

– page 334: «Nancy Drew et les garçons Hardy font équipe — lorsqu’un bateau de croisière se transforma en bateau de la mort». (Incohérence des temps. Dans le texte anglais, les deux verbes sont au présent).

– page 339: «deux traités qui prévoient d’Angola le retrait des soldats cubains» («qui prévoient le retrait des soldats cubains d’Angola»)?

– page 343: «Puis Théon qui voyait en moi (qui vivait là aussi)», au lieu de «qui vivais là». Plus loin: «Tu sais, il faut…: les guillemets ne sont pas fermés.

– page 351: début d’un article traduit: «À la question: quel message allait-il ramener… il a déclaré»: on ne sait pas qui est ce «il», la suite du paragraphe ne nous l’apprend pas non plus.

– page 351: la traduction est un galimatias: «Selon M. Rajiv Gandhi, le Tibet n’a fait l’objet que de quelques minutes de ses conversations avec le Premier Ministre chinois et que M. Li Peng a apprécié la position de l’Inde». «La position indienne est que le Tibet est une région autonome de la Chine et que l’Inde n’intervient pas dans les affaires intérieures de la Chine».

– page 352: «jusqu’à ce que nous atteignons», au lieu de «atteignions».

– page 356: «les bras le long du corps en se laissant tordre et secouer et martelant le sol» («en martelant»)?

– page 357: «ce n’est pas loin»: omission du point final.

 

 Cette liste n’est pas exhaustive. Les erreurs de ponctuation sont si nombreuses qu’il est impossible de les répertorier toutes. Le choix d’omettre la majuscule après un point d’interrogation pose un problème particulier. Si cette démarche s’explique pour certaines phrases de Satprem, où la question est partie intégrante du tout et où on ne peut pas briser le rythme, elle semble par contre fautive dans de nombreuses phrases où elle ne se justifie pas.

 La traduction des articles est dans l’ensemble d’une grande maladresse, apparemment trop calquée sur la structure anglaise. (Ex.: «De nombreuses personnes ont perdu la vie en étant atteintes par des roquettes…»).
On note également que «ma douce» commence ici par une minuscule, alors que les volumes précédents utilisaient la majuscule (il s’agit d’un surnom). Même remarque lorsque Sujata appelle Satprem «Doux».

 Enfin, on peut regretter quelques fautes de goût dans le choix des termes («Satprem pouffe, un peu douloureusement») et la parcimonie des notes explicatives (pourquoi, par exemple, ne pas avoir précisé en note la signification que Mère a attribuée à la grenade, puisque Satprem et Sujata s’interrogent longuement à ce sujet?).

 En résumé, ce volume des Carnets regroupe un grand nombre de fautes d’orthographe, de grammaire, de ponctuation et de traduction, et semble révéler une retranscription parfois erronée des manuscrits originaux.
 Relecture trop peu attentive? Manque de moyens? Parti pris de ne pas vouloir faire appel à des compétences extérieures à Mira Aditi ou à l’IRE?
Quelle que soit la réponse, il nous semble évident qu’un travail aussi approximatif ne peut que desservir la transmission de l’œuvre de Satprem.

Janvier 2010


 

ERREURS

relevées dans le

volume 9 des

Carnets d’une Apocalypse

de Satprem

 

(rédigé par l’équipe du site arianuova.org) 

Le tome IX des “Carnets” de Satprem
a été publié en avril 2011.
Donnons ici notre liste
des fautes contenues, pour faire preuve,
hors de toute polémique,
de ce soin et ce respect qui l’Auteur mérite bien.
Oui, il faut bien obtenir des garanties
sur la fidélité de la transcription
des prochaines tomes à paraître!

 

– p.42: «je ne me souviens pas de qui c’étaient» (au lieu de «qui c’était”).

– p.115: «anniversaire de la mort d’Adolf Hitler» (au lieu de «anniversaire de la naissance d’Adolf Hitler»).

– p.155: coupure mal placée: «je cour-ais».

– p.185: «des coups de pieds» (au lieu de «pied»).

– p. 186: «et bien peut-àtre que» (au lieu de: «eh bien,»).

– p. 202: «une demie jambe» (pour «une demi-jambe»).

– p. 247: «un peu bruns» (au lieu de: «un peu brun» — il s’agit d’un seul corbeau).

– p.248: «c’est que ça soit arrivé de près de toi» (sens?).

– p. 261: «très légèrement dorés ou chauds, crèmes» (au lieu de «crème», invariable ici).

– p. 266: «les bàtes d proies» (pour: «bàtes de proie»).

– p.269: «des feux d’artifices» («feux d’artifice»).

– p. 293: «à peu de choses près» (au lieu de «à peu de chose près»).

– p. 305, note de l’éditeur: «Devenant de plu-z-en plus curieux» («de plus en plus»).

– p. 339: «et bien cette msse périmée» (pour: «Eh bien, cette masse périmée»).

– p. 371: «une foi et une ténacité plus veilles que les tombes» («vieilles»).

– p. 373: «Seigneur, où est-tu?» («es»).

– p.373: «Comme quand il y de fortes pluies et de la boue (omission de «a»)-

– p. 392: «Elle transportait quelque chose qui était précieux, ...qui peut-être étaient des bijoux» (au lieu de «était»).

– p. 395-396: entre la fin de la page 395 et le début de la page 396, il semblerait qu’il manque un ou plusieurs mots: «elle fait son boulot de a sincérité des gens» (sens?).

– p. 405: «parce qu’après» (au lieu de «parce que après» — parce que ne s’élide que devant à, il, ils, elle, elles, on, un, une).

– p. 445: «cette femme qui avait une pouvoir si considérable» (au lieu de: «un»).

– p. 453: «et bien oui» (au lieu de: «Eh bien, oui»).

– p. 457: «parce que on peut mettre» (là, il fallait élider: «parce qu’on peut mettre»).

– p. 457: «parce qu’après tout» (au lieu de: «parce que après tout»).

– p. 460: «que ne j’ai pas vu» (pour: «que je n’ai pas vu»).

– p. 492: «je me suis demandée» (pour: «je me suis demandé»).

– p. 505: «entr’ouverte» (pour: «entrouverte»).

– p. 508: «cela peut-être n’importe quoi» (pour: «peut être»).

– p. 514: «par qu’il est en train de secouer tout» (au lieu de «parce qu’il»).

 Cette liste n’est pas exhaustive. A ces fautes, il faut ajouter la maladress des traductions d’anglais en français (Exemples: «Les Chinois ont tendu à écarter les idées soviétiques sur la sécurité en Asie comme irréalistes», ou: «Près de 500 000 Allemands de l’Est descendent dans la rue, leur slogan se précisant: “La démocratie maintenant”».

 Mais le grand probléme demeure celui de la ponctuation. Là, les erreurs se comptent par centaines. Ponctuation complètement absente dans certaines conversations retranscrites («bon eh bien heureusement c’est fini», ou «C’est avec Mère je ne sais pas en 67-68»), omise presque systématiquement après «eh bien», après les compléments circonstanciels placés en tête de phrase, après certains gallicismes qui exigeraient une virgule («Le poteau de torture c’est mon corps»). Enfin, ponctuation mal placée qui altère le sens de certaines phrases (ex. p. 127: «Mais je me souviens déjà, je marchais sur les plages et j’avais du coaltar sous les pieds» — la virgule devrait se trouver après souviens).

 En résumé, ce volume des Carnets regroupe encore une fois un grand nombre de fautes d’orthographe, de grammaire, de ponctuation et de traduction, et semble révéler une retranscription parfois erronée des manuscrits originaux.

Janvier 2012


 

 

ERREURS

relevées dans le

volume 10 des

Carnets d’une Apocalypse

de Satprem

 (rédigé par l’équipe du site arianuova.org) 

Le tome X des “Carnets” de Satprem
a été publié en janvier 2013.
Donnons ici notre liste
des fautes contenues, pour faire preuve,
hors de toute polémique,
de ce soin et ce respect qui l’Auteur mérite bien.
Oui, il faut bien obtenir des garanties
sur la fidélité de la transcription
des prochaines tomes à paraître!

 

Fautes de traduction

- p.166: après que deux hommes avaientsurgi chez elle: toute cette phrase est à retraduire. C’est maladroit, pas français.

- p. 167: et a fait l’objet d’une enquête (soit: elle fait l’objet / soit et fait l’objet…)

- p. 169: Le même jour: toute cette phrase est à retraduire.

- p. 371: l’idée était de dissiper les craintes d’un rôle américain majeur (très maladroit)

- p. 391: avoir promis fidélité à l’intégrité de l’Inde (sens plus que problématique)

Fautes d’orthographe et omissions

- p.29: Vivekananda (et non Vivékananda).

- p.55: Mercedes (et non Mercédes)

- p. 56: idem

- p. 65: «…n’auront plus qu’à se Taire»? La majuscule est-elle voulue?

- p.121: il faut être bien protégé (et non «il fait»)

- p. 128: meutes néo-nazies (et non «nazis»)

- p. 132: qui c’était (et non «qui c’étaient»)

- p. 172: J’en ai même vu (et non «vues»)

- p. 224: pallier le malheur (et non pallier «au» malheur)

- p. 255: qui est en train (il manque le « est »)

- p. 255: parce que son diamètre (il manque le «que»)

- p. 313: parce que (il manque le «que»)

- p. 356: prends un bout de papier (et non «prend» : il s’agit ici de la 2ème personne de l’impératif)

- p. 379: au pied de l’arbre (et non «aux pieds»!!!)

- p. 422: l’humanité telle qu’elle est (et non «telle quelle est»)

- p. 255: […] : il semblerait qu’il y ait ici une importante coupure dans le texte. Qui a décidé de couper? Satprem? L’éditeur? Cela mériterait une note explicative en bas de page.

Fautes typo

- p. 121: (Éclatant de rire) (italiques manquent)

Manque d’explications

- p. 65: Pourna Avatar ?

- p. 159: sens de «touée»?

- pp. 127 et 143: traduction de «awesome»?

Tournures «bizarres» de phrases

- p. 83: sauter à la figure sous le premier souffle

- p. 109: presque symétrique de l’autre

- p. 211: ça me pilonne mon dos pour: le dos (ou: ça pilonne mon dos)

- p. 258: Vision Sujata (Vision de Sujata?)

- p. 262: dontchaque fibre, c’est fait pour vous enfermer. (Dans chaque fibre?)

- p. 288: Hier Irak a annoncé  le Jihad) pour hier l’Irak.

- p. 296: Si l’on peut sortir de cette cruelle Démence, on est prêt à tout. ???

- p. 330: Décoction d’armes ???

- p. 333: si et quand elle sera levée

Mise en page maladroite (et irrecevable)

- p. 291: la première ligne d’un paragraphe toute seule, en bas de page, sous la photo.

Références absentes ou incomplètes

- p. 13: Le labeur d’un Dieu: édition? traduction?

- pp. 16/17: War and self determination: éditeur? traduction?

- p. 33: Collected Poems: édition? Page?

- p. 44: Citation de Sri Aurobindo: édition? Page?

- p. 54: Bande Mataram: édition? Page?

- p. 85: Savitri: édition? Page?

- p. 86: Citation de Sri Aurobindo sans références.

- p. 89: l’inexorable pierre de fond: traduction?

- p. 126: Deux citations de Sri Aurobindo sans références

- p. 128: Citation de Sri Aurobindo sans références

- p. 155: Citation des Védas: sans références

- p. 158: Pour cette vision, il aurait fallu renvoyer le lecteur au Sannyasin de Satprem.

- p. 219: Citation de Sri Aurobindo sans références (la référence aux Carnets précédents est irrecevable).

- p. 252: Le Roi du Feu et le Messager: édition? Page?  traduction?

- p. 366: Le labeur d’un Dieu: édition? traduction?

Fautes de ponctuation

- p. 15: Ce soir Sujata me lit… entre 1916-1920: (au lieu du point)

- p. 67: «dégager cette plaque?)»: soit il manque le début de la parenthèse, soit celle-ci est en trop.

- p. 67: abominable…! (pour …… !)

- p. 72: (Mais cela veut… Mère entre dans cette obscurité…). (manque le point)

- p. 80: (… degrés centigrades!). (manque le point)

- p. 81: (… les connaissais parfaitement!). (manque le point)

- p. 82: descendre (quatre ans!). (manque le point)

- p. 82: jusqu’à présent!). (manque le point)

- p. 87: (… espérons-le). (et non dans la parenthèse)

- p. 89: (… n’importe quelle galaxie). (et non dans la parenthèse)

- p. 90: («ajna chakra»!) (manque le premier guillemet)

- p. 91: torticolis!). (manque le point)

- p. 103: plus rien faire…». (manque le point)

- p. 103: arrêter ou raison?). (manque le point)

- p. 107 démonstration plutôt!). (manque le point)

- p. 131: quelque crainte!). (manque le point)

- p. 145: le nouveau arrive). (et non dans la parenthèse)

- p. 146: un souffle et ça y sera). (et non dans la parenthèse)

- p. 146: de lui-même», (et non dans les guillemets)

- p. 156: grand œil»!). (manque le point)

- p. 156: «Il y a mille manières de s’enfuir», disait Mère, «il n’y en a… (manquent les guillemets)

- p. 160: bout des pieds (si j’ose dire!). (manque le point)

- p. 163: et le privait de «ça» (manquent les guillemets)

- p. 166: elle a été hospitalisée, et choquée, (manquent les virgules) (TRADUCTION GAUCHE)

- p. 168: R. (manque le point)

- p. 185: un papier et ma plume, et j’ai noté.

- p. 188: désescalade ce mot existe-t-il?

- p. 188: entre les deux pays, provoquée… (manque la virgule)

- p. 188: - au 14 juin - des affrontements, qui avaient… (manque la virgule)

- p. 201: que c’était là, (manque la virgule)

- p. 201: où ça se trouve, (manque la virgule)

- p. 203: tu peux rester». (et non dans les guillemets)

- p. 203: Please go out,  (manque la virgule)

- p. 203: à quitter son corps». (manque le point)

- p. 211: il a dit: (avant le guillemet)

- p. 212: Oui, au-dessus de toi. (manque la virgule)

- p. 214: mon bras comme ça, (manque la virgule)

- p. 216: and the mind». (manque le point)

- p. 217: aussi vite que c’est possible, je crois, sans tout casser. (manquent les virgules)

- p. 219: des tas de petits. . . (manquent les 3 points)

- p. 239: à Prétoria, (manque la virgule)

- p. 243: (avec chaque respiration). (et non dans la parenthèse)

- p. 244: qui vous fait la guerre». (et non dans les guillemets)

- p. 244: qui déchire moins, (manque la virgule)

- p. 245: comme une honte !). (manque le point)

- p. 245: dire les choses». (et non dans les guillemets)

- p. 246: sur ton corps». (et non dans les guillemets)

- p. 246: votre matière». (et non dans les guillemets)

- p. 247: dirait Sri Aurobindo). (et non dans la parenthèse)

- p. 248: il est «au courant», (manque la virgule)

- p. 248: jusqu’à ce que…  (pour  5…… !)

- p. 256: dans de l’«eau»!). (et non dans la parenthèse)

- p. 257: (pas surprenant.) (et non hors de la parenthèse)

- p. 257: prennent un sens). (et non dans la parenthèse)

- p. 258: Oui, oui. (et non dans la parenthèse)

- p. 264: j’ai dit tout d’un coup:  (à la place de la virgule) «Tiens. (manque le point)

- p. 271: (Plus Cachemire, (manque la virgule) plus Penjab). (manque le point)???

- p. 285: (A. + R.) (manquent les points après les initiales)

- p. 285: une bonne dernière percée). (et non dans les guillemets)

- p. 286: (ou de tous les côtés!). (manque le point)

- p. 287: c’est-à-dire sans revêtement). (et non dans la parenthèse)

- p. 293: faire des embarras. (manque le point)

- p. 296: coups de boutoir formidables……… acceptable? ou seulement ?

- p. 402: Le dilemme des Irakis. (manque le point) ? ou :?

- p. 423: Satprem claque dans ses mains:) les : sont-ils acceptables ici?

- p. 443: C’est déjà la catastrophe, (fin de la phrase de Sujata: avec une virgule?!?)

Liste non exhaustive: les erreurs de ponctuation sont innombrables dans ce volume. On notera en particulier la ponctuation absente ou erratique dans la retranscription des passages enregistrés (conversations avec Sujata), qui gêne considérablement la lecture et la compréhension du texte. Visiblement, la personne qui transcrit les conversations enregistrées n'a aucun sens de la syntaxe ni du rythme des phrases.

Cette incompétence, c'est un tel manque de respect pour le travail de Satprem...

Et on s’inquiète pour une éventuelle traduction de ces Carnets. Comment un traducteur (dans quelque langue que ce soit) peut-il travailler à partir d’un texte aussi rempli d’erreurs et d’approximations?

 


 

1 janvier 2014

ANNEXE III : PLAN DE PUBLICATION

 

étoiles N&b

 


Observation: Voici le plan de publication tel que l'équipe du site arianuova.org espérait au mieux le voir s'accomplir. Ce n’était déjà pas terrible comme échéance de publication compte tenu des moyens à disposition de l'IRE (équipe, informatique, manuscrits déjà légués par écrit en l'état par Satprem, le travail qu'il y a à faire est un travail de saisi, ni plus ni moins), mais là en ce début 2014, force est de constater que nous en sommes bien loin...

Ce n'est pas 23 ans qu'il faudrait au rythme actuel, mais près de 40 ans! Inadmissible! Scandaleux! Ce n’est plus les Carnets d’une Apocalypse, mais Une apocalypse des Carnets...

 

 

PLAN DE PUBLICATION DES

Carnets d’une Apocalypse

de SATPREM

 

   On s’attend avec du bon sens que la parution intégrale des 24 tomes des Carnets d’une Apocalypse de Satprem soit terminée en 2023, année centenaire de la naissance de son Auteur.

  Nous rappelons ici que les premièrs sept tomes ont été publiés avant la disparition de Satprem (avril 2007) et sous sa directe supervision.

  On peut même envisager un plan de publication qui soit bien régulier, dont voici les étapes raisonnables:

  • tome 1 (1973-1978) — 380 pages

paru en 1999

  • tome 2 (1978-1982) — 318 pages

paru en 2000

  • tome 3 (1982-1983) — 572 pages

paru en 2001

  • tome 4 (1984) — 670 pages

paru en 2002

  • tome 5 (1985) — 556 pages

paru en 2003

  • tome 6 (1986-1987) — 442 pages

paru en 2005

  • tome 7 (1987) — 326 pages

paru en 2007

  • tome 8 (1988) — 358 pages

à publier en 2008... paru en 2009

  • tome 9 (1989) — 544 pages

à publier en 2009... paru en 2011

  • tome 10 (1990) — 448 pages

à publier en 2010... paru en 2013

  • tome 11 (1991)

à publier en 2011...

  • tome 12 (1992)

à publier en 2012...

  • tome 13 (1993)

à publier en 2013...

  • tome 14 (1994)

à publier en 2014...

  • tome 15 (1995)

à publier en 2015...

  • tome 16 (1996)

à publier en 2016...

  • tome 17 (1997)

à publier en 2017...

  • tome 18 (1998)

à publier en 2018...

  • tome 19 (1999)

à publier en 2019...

  • tome 20 (2000)

à publier en 2020...

  • tome 21 (2001)

à publier en 2021...

  • tome 22 (2002-2003)

à publier en 2022...

  • tome 23 (2004-2005)

à publier en 2023...

  • tome 24 (2006-2007)

à publier en 2023...

Nous espérons donc vivement que ceux qui ont hérité cet inestimable Document, iront bien respecter la mémoire de Satprem en le publiant sans retard et sans omissions.
Le corps de Satprem a été enterré le jour même dans lequel il l’a quitté (!!!). Espérons-nous que ses Carnets d’une Apocalypse ne soit pas enterrés aussi, et que la hâte soit transformé ici par un scrupule plein d’égard.

 


 

1 janvier 2014

ANNEXE IV: BIBLIOGRAPHIE DE SATPREM

Satprem image5

Observation: On prend conscience ici de l’œuvre monumentale publiée par Satprem de son vivant et on remarque l’écart qui se creuse de plus en plus entre les années où Satprem a écrit ses Carnets d’une Apocalypse et les années où ils sont précisément publiés. Ce qui laisse présager du pire pour l’échéance de publication des 14 autres tomes restants pour les années à venir... À moins qu’un sursaut de conscience à l’IRE ne fasse échoir ces funestes pronostiques, malgré tout bien réels compte tenu du constat de la situation actuelle...

 


 

BIBLIOGRAPHIE

  • L'Orpailleur – roman (1960)
  • Le Véda ou La Destinée Humaine – essai (1961)
  • Sri Aurobindo ou L'Aventure de la Conscience –  essai (1964)
  • Le Grand Sens, Sri Aurobindo et l'avenir de la Terre – essai(1969)
  • Par le Corps de la Terre ou Le Sannyasin – roman autobiographique (1974)
  • La Genèse du Surhomme – essai (1974)
  • Mère - Une trilogie – essai (1977)

1. Le Matérialisme Divin

2. L'Espèce Nouvelle

3. La Mutation de la Mort

  • L'Agenda de Mère 1951-1973 – entretiens en 13 volumes (1978 à 1982)  400 à 600 pages par volume.
  • Carnet de laboratoire – condensé des 6000 pages de l’Agenda (1980) 276 pages.
  • Gringo –conte (1980)
  • Le Mental des Cellules – essai (1981)
  • La Vie sans Mort –lettres et interviews (1985)
  • La Révolte de la Terre –essai (1990)
  • Evolution II –essai (1992)
  • Lettres d'un Insoumis  1947-1973 – Correspondance en 2 volumes (1994)
  • La Tragédie de la Terre - de Sophocle à Sri Aurobindo –essai (1995)
  • La Clé des Contes–conte (1997)
  • Néanderthal Regarde – conte (1999)
  • Une lettre récente de Satprem –  lettre (1999)
  • Carnets d'une Apocalypse 1973-1984 (TI à T4 1999 à 2002)
  • La Légende de l'Avenir précédé d’Un Coup de Phare – essais (2000)
  • Carnets d'une Apocalypse (suite) 1985-1987 (T5 à T7 2003 à 2007)
  • Mémoires d'un patagonien – roman (2002)
  • La Philosophie de l’amour –essai(2002)
  • L'Oiseau Doël –conte (2008)
  • Carnets d'une Apocalypse (suite) : 1988-1990 (T8 à T10 : 2009 à 2013)
  • Carnets d’une Apocalypse (suite) : 1991-2007 (T10 à T27 : 2014 à...2050 ?)

 


 

1 janvier 2014

ANNEXE V: A PROPOS du 09 AVRIL 2007

mer

Observations:Voici un article "MA" publié par l'équipe du site arinuova.org concernant (consternant!) les derniers jours de Satprem. Nous pouvons, au regard de la rapidité de l'inhumation de l'absence d'indication sur le lieu d'inhumation et sur l'heure précise du dernier instant de Satprem sur Terre, tous légitimement nous interroger et être en droit d'exiger des réponses sérieuses et honnêtes de la part de l'IRE. (Certes en tant que marin s'il était mort en mer, son corps aurait été offert à ses profondeurs...). Les nombreuses lettres adressées aux responsables de l'institut sont restées sans réponse pendant ces sept années...Et si Satprem a émis quelques recommandations, où sont elles? Qui en est le porte-parole?

Cette question est un sujet aigu dans la conscience des chercheurs et suiveurs de Satprem, ce qui est tout à fait compréhensible, d'une part d'un point de vue humain, et aussi d'un point de vue spirituel. C'est légitime. Et d'un point de vue s'ancrant dans la société, dans la communauté humaine terrestre, c'est un point que l'on ne peut et ne doit pas occulter. C'est pourtant ce qui se passe de la part des responsables ayant eu soin des dernières volontés de Satprem, ayant été témoins de ses derniers instants de vie sur Terre, et ayant eut à charge de le communiquer aux autorités et à l'ensemble de la communauté humaine. Toutefois, cela ne peut pas nous empêcher d'aller de l'avant et d'honorer sa mémoire en notre coeur et notre conscience, et d'aller au-delà de cette focalisation sur sa mort, ce n'est pas ça qui nous empêchera de continuer LE travail, et d'être en esprit en la présence de Satprem comme nous pouvons l'être en celle de Mère et de Sri Aurobindo.

En effet, le plus essentiel, maintenant que Satprem est parti de ce monde, c'est la pérennité de son oeuvre, la publication des Carnets d'une Apocalypse en temps et qualité voulue, dans une échéance rationnelle, honnêtement valable, et non pas reportées aux calanques grecques! C'est de ça que nous devons tous nous préoccuper et faire le nécessaire pour mettre les responsables de ce travail en face de leurs responsabilités!

 


 

MA!

 Voici ce qu’un journaliste indien publie à propos des dernières jours de Satprem et Sujata Nahar d’après les mots de Shrimati Suprabha Nahar et Shri Kireet Joshi:

Deux mois avant de quitter son corps, Satprem avait dit: «Le travail est fait». La fin est survenue au matin du lundi 9 avril 2007. Le dernier mot qu’il a prononcé pendant qu’il prenait son petit déjeuner fut «MA». La dame qui s’occupait de Sujata Nahar et de lui l’a aidé à se lever de son lit et à s’asseoir dans le sofa placé près du lit de camp. Lorsqu’elle est allée ouvrir les rideaux afin que la lumière matinale puisse entrer dans la pièce, elle a entendu deux sons gutturaux. Elle est revenue vers Satprem et a vu qu’il avait quitté son corps en position assise, un œil fermé et l’autre regardant vers une photographie de Sri Aurobindo. La nuit suivante, son corps a été enterré dans son jardin. Sujata Nahar était déjà alitée quand Satprem a quitté son corps. Elle avait cessé de parler et indiquait seulement si elle voulait prendre ou non la nourriture liquide qu’on lui donnait. Parfois, elle appelait: «MA, MA». Le 4 mai 2007, exactement 25 jours après le départ physique de Satprem, elle a lu un passage de l’Agenda de Mère (20 avril 1966, le départ d’Anousuya). Ensuite, on lui a donné à boire de l’eau, qu’elle a prise, et elle a quitté son corps peu après.

Anurag Banerjee Mai 2009

 Mais quand même, il y a quelque chose d’étrange dans cette description… Satprem qui prend son petit-déjeuner dans l’obscurité de sa chambre, encore dans son lit de camp, et puis on lui ouvre les rideaux seulement après l’avoir aidé à se lever…  Et comment Sujata aurait-elle pu lire ce passage de l'Agenda, alors qu'elle était déjà dans cet état où sa conscience semblait tout à fait ailleurs?  Il y a quelque chose qui ne tiens pas debout!  Nous avons des bonnes raisons pour supposer que quand Satprem a quitté son corps, il était tout seul et la femme de peine s’est aperçue de son départ seulement beaucoup de temps après.

 


 

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